« Quelqu’un doit le faire » : Jessica O’Dell a répondu à l’appel pendant les feux de forêt au Nouveau‑Brunswick

Lorsque les feux de forêt ont balayé le Nouveau-Brunswick cet été, Jessica O’Dell ne regardait pas les événements depuis sa maison – elle était en première ligne.  

 

Jessica, une spécialiste, Solution de gestion d’hypothèques est arrivée chez FCT en juillet. Elle est aussi pompière volontaire dans sa ville natale de Hillsborough, au Nouveau-Brunswick. Elle est active depuis 2010 aux côtés de son père, chef adjoint du service. Lorsqu’une demande d’aide a été envoyée à l’échelle de la province, Jessica et son équipe de la communauté de Fundy Albert ont été parmi les premiers à répondre.  

 

« Quand nous sommes arrivés, nous avons passé en revue le plan de match, et tout le monde est monté dans son véhicule et est allé sur le lieu de l’incendie, explique Jessica. On pouvait voir que l’incendie s’était déplacé, et qu’il se propageait d’un endroit à l’autre. »  

 

Un moment déterminant  

 Jessica a connu un moment mémorable : une souche d’arbre embrasée qui ne s’éteignait pas, peu importe la quantité d’eau utilisée pour l’arroser. Puis, il a commencé à pleuvoir.  

 

« Le froid de la pluie a eu l’effet désiré sur la souche, et nous avions dû la manipuler de la bonne façon, car à notre retour, elle était en fait coupée en deux », a déclaré Jessica.  

 

« À ce moment, je me suis dit, c’est bon, c’est pour ça que je suis ici. Quelqu’un doit le faire. »  

 

Ces feux de forêt ont été parmi les pires que la province ait jamais connus, déclenchant des alertes d’évacuation et des préoccupations en matière de qualité de l’air. Jessica décrit son retour le lendemain en tant que chef de l’équipe d’intervention, où elle sondait le secteur pour planifier l’approche de son équipe.  

 

« L’un des endroits que j’avais quittés la veille avait disparu – il s’était transformé en un gouffre d’environ trois pieds de profondeur parce que le feu brûlait sous terre. »  

 

« On n’avait jamais eu de feux de cette envergure à Moncton, a-t-elle ajouté. Cela remet vraiment les choses en perspective. »  

 

Appuyée par FCT  

Jessica n’était pas seule – FCT l’a soutenue dès le premier jour.  

 

« J’ai dit à [ma gestionnaire] que je n’avais pas d’objection à utiliser mes vacances. J’étais à l’aise avec l’idée d’utiliser mon temps personnel. J’ai expliqué que je n’avais même pas d’objection à ne pas être payée, tant que j’obtenais la permission d’y aller; et finalement j’ai découvert que FCT m’avait accordé des congés payés. »  

 

Sa gestionnaire, Kimberly-Ann Gallant, n’a pas hésité. 

  

« Dès l’instant où Jessica m’a parlé des feux et de son rôle, je lui ai dit : “Allez-y. Nous trouverons une solution.” Nous avons de la chance de la compter parmi nous chez FCT, et je suis très fière de ce qu’elle a accompli pour sa communauté. »  

 

Lorsque Jessica est revenue au travail, elle avait reçu des messages d’encouragement et de reconnaissance de la part de collègues de partout au pays.  

 

Un village de soutien  

Chez elle, Jessica a dû faire face à un autre obstacle. Comme son mari était absent et qu’elle a deux jeunes enfants, elle comptait sur son « village » personnel pour l’aider, tandis qu’elle aidait sa communauté.  

 

« La garderie de mes enfants a accepté de prendre mes enfants plus tôt et de les garder jusqu’à ce qu’elle puisse les amener chez ma gardienne chaque nuit. Tout le monde a fait sa part. Sans ces personnes… Je n’aurais pas pu le faire. Ça prend vraiment un village. »  

« C’est la communauté la plus gratifiante, la plus aidante si vous voulez. C’est comme une deuxième famille pour moi. »  

 

Un message aux autres : foncez  

 Jessica encourage toute personne qui songe à se porter volontaire à sauter le pas, que ce soit dans le cadre d’un service d’incendie ou d’une autre activité.  

 

« Il s’agit d’aider les gens et de faire partie de quelque chose de plus grand que vous-même. »  

 

Si vous songez à vous impliquer, faites le premier pas. Votre village, et votre famille FCT, vous soutiendront.  

 

Chez FCT, le bénévolat n’est pas seulement favorisé, il fait partie de notre identité. Dans le cadre du programme Journées de bénévolat, les employés peuvent consacrer jusqu’à 15 heures rémunérées par année à des causes qui leur tiennent à cœur. C’est l’une des nombreuses façons dont FCT incarne ses valeurs et soutient les personnes qui la façonnent.  

 

 

À propos de FCT

Située à Oakville, en Ontario, FCT compte plus de 1 200 employés à travers le pays. FCT offre des produits d’assurance titres à l’avant-garde de l’industrie, des solutions de recouvrement et d’autres produits et services liés à l’immobilier à près de 450 prêteurs, 43 000 professionnels juridiques et 5 000 professionnels du recouvrement, ainsi qu’à des agents immobiliers, à des courtiers hypothécaires et à des entrepreneurs de partout au Canada.

Great Place to WorkMD a nommé FCT l’un des meilleurs endroits où travailler au Canada (Canada’s Best WorkplacesMD) pour la dixième année consécutive (de 2015 à 2024) et lui a remis la certification Great Place to WorkMD. En 2024, la société mère de FCT, First American Financial Corporation, a été nommée à la fois l’une des 100 meilleures entreprises où travailler et l’un des meilleurs lieux de travail pour les femmes par Great Place to WorkMD et le magazine Fortune pour la neuvième année consécutive.

Pour en savoir plus sur FCT, visitez le site de l’entreprise à l’adresse www.fct.ca.

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